Feder
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Hadrien Federiconi, de son vrai nom, grandit à Nice. Après un cursus scolaire classique, un bac S suivi d'un DUT de techniques de commercialisation, le jeune homme de 20 ans s'envole pour l'Angleterre où il commence à animer des soirées dans des clubs londoniens.
"Avec
l'argent,
je
me
suis
acheté
un
ordinateur,
un
logiciel,
pour
réaliser
des
chansons",
raconte-t-il
lors
d'une
interview
au
Parisien.
De
retour
à
Paris,
où
il
a
élu
domicile,
l'apprenti
DJ
intègre
une
école
d'ingénieurs
du
son
pendant
trois
ans.
Après
quoi,
alors
qu'il
faisait
déjà
partie
d'un
groupe
avec
Alex
Chière
de
Synapson,
il
se
lance
dans
un
projet
solo
qu'il
intitule
Feder.
Pour
décrire
sa
musique,
le
nouveau
venu
sur
la
scène
électro
explique
à
une
journaliste
de
Villa
Schweppes
:
"C'est
particulier,
je
pense
que
c'est
un
milkshake
entre
de
la
Deep
et
de
la
House,
mélangé
à
ce
que
l'on
peut
entendre
aujourd'hui,
j'essaie
de
pousser
les
influences."
Après
s'être
déjà
fait
remarqué
en
2013
grâce
à
son
remix
du
Can't
Get
Away
de
Sixto
Rodriguez,
Feder
connaît
la
consécration
l'année
suivante
avec
un
titre
de
sa
propre
réalisation,
intitulé
Goodbye.
S'il
avait
déjà
confectionné
la
partie
musicale
depuis
un
moment,
il
attendait
de
trouver
une
"voix
atypique"
pour
accompagner
ses
beats
électroniques.
C'est
finalement
à
son
amie
Lyse,
qui
vient
de
connaître
une
rupture,
que
Feder
confie
la
partie
vocale,
bien
qu'elle
ne
soit
pas
chanteuse.
"J'aimais
sa
voix",
dit-il
à
Villa
Schweppes,
"je
lui
ai
dit
:
'Tu
sais
quoi,
on
va
te
faire
parler,
chanter,
on
va
essayer
de
faire
un
mix
de
tout
ça
avec
un
message
fort'.
(...)
C'est
comme
ça
que
Goodbye
a
été
créé".
D'une
histoire
vraie
donc,
enregistrée
dans
son
appartement.
Lorsque
le
clip
-
réalisé
par
Nicolas
Diego,
un
ancien
camarade
de
l'école
d'ingénieurs
du
son
-
sort
en
2015,
le
premier
titre
de
Feder
fait
un
carton
autour
du
globe.
Goodbye
se
hisse
durant
l'été
en
tête
des
charts
de
quelque
21
pays,
de
l'Italie
à
la
Turquie
en
passant
par
la
Russie
et
bien
sûr
la
France,
où
...
Alors Feder se lance sur scène, faisant notamment la tournée des festivals européens. Fin 2015, il diffuse un nouveau morceau qui rencontre (presque) autant d'enthousiasme : Blind, avec cette fois une (vraie) chanteuse australienne dénommée Emmi. Le titre prend la cinquième position du classement français et affiche près de 15 millions de vue sur YouTube - c'est toutefois 13 millions de moins que son prédécesseur. Si le succès est, certes, moins phénoménal, il permet au DJ français de poursuivre avec sa conquête des scènes européennes, sillonnant notamment l'Hexagone avec quelques confrères - The Avener, Joris Delacroix et ses amis de Synapson - dans le cadre de Flash Deep, annoncée comme "la tournée événement de la nouvelle vague Deep House française".
En 2016, Feder propose de nouveaux remixes, comme Bang My Head de David Guetta avec Fetty Wap et Sia, puis présente un troisième titre inédit. Encore une fois, Lordly est né d'une première version instrumentale enregistrée deux ans plus tôt, sur laquelle il a apposé la voix - masculine cette fois - de l'Américain en vogue Alex Aiono. "C'est un titre qui a beaucoup d'énergie, qui est un petit peu différent de ce que j'ai fait auparavant. On est sur quelque chose d'un peu plus 'House' et personnellement ça me va très bien !", expose le DJ au micro de NRJ.
Si le public accroche moins, le morceau intégrant tout juste le Top 10 français en octobre 2016, ce dernier est néanmoins choisi pour devenir l'hymne officiel du Championnat mondial de Handball de 2017. Nul doute que l'événement contribuera à faire grimper Lordly dans les charts... Et encouragera, peut-être, Feder à diffuser (enfin) un premier album studio.
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