Georges Delerue
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Compositeur emblématique de la Nouvelle Vague, il signe les partitions du "Mépris" de Jean-Luc Godard ou encore de Jules et Jim de François Truffaut. Ne voulant se rattacher à aucun courant musical en particulier, il a composé pour le cinéma, mais également pour le théâtre, le ballet, les opéras et la musique de concert.
Quel
est
le
point
commun
entre
"Casino"
de
Martin
Scorsese,
"Hibernatus"
d'Edouard
Molinaro
et
"Promenade
avec
l'amour
et
la
mort"
de
John
Huston
?
À
première
vue
rien,
et
pourtant...
Le
dénominateur
commun
de
ces
trois
classiques
du
cinéma
dans
leur
registre
respectif
est
la
musique
de
Georges
Delerue
et
ses
notes
lyriques
qui
ont
habillé
le
cinéma
des
années
1950
aux
années
1990.
Quarante
ans
de
succès
pour
ce
gamin
de
Roubaix,
fils
d'un
ouvrier-serrurier
dont
l'avenir
était
déjà
tout
tracé
à
sa
naissance
le
25
mars
1925
:
étudier
la
métallurgie
et
reprendre
l'affaire
familiale.
Mais
sa
mère,
à
l'aube
de
la
Seconde
Guerre
mondiale,
en
décida
autrement
en
l'inscrivant
au
Conservatoire
municipal
de
Roubaix
afin
d'assurer
ses
arrières
lorsque
le
service
militaire
pointerait
le
bout
de
son
nez.
En
effet,
jouer
dans
des
orchestres
militaires
garantissait
bien
plus
de
sécurité
pour
son
fils
que
de
combattre
au
front.
Voilà
comment
Georges
Delerue
s'est
retrouvé
une
clarinette
à
la
main,
celle
d'un
grand
oncle
qui
avait
trouvé
repos
dans
le
grenier.
Si
la
clarinette
ne
l'enthousiasme
pas
vraiment,
le
piano,
lui,
va
agir
comme
un
révélateur
sur
l'adolescent.
Se
formant
à
la
métallurgie
le
jour,
il
participe
à
différentes
fanfares
implantées
dans
la
ville
le
soir,
tout
en
rêvant
à
des
pièces
à
quatre
mains
et
autres
préludes
jouées
au
piano.
Les
Delerue
cèderont
et
Georges
finira
par
obtenir
des
cours
de
piano
au
Conservatoire
municipal,
qu'il
paiera
de
sa
poche.
"D'une
famille
ouvrière
pourtant,
j'ai
appris
à
jouer
du
piano
comme
dans
toute
famille
de
la
petite
bourgeoisie.
A
14
ans,
je
n'avais
jamais
rien
entendu
de
Bach,
de
Mozart,
de
Schumann
ou
de
Beethoven
;
j'étais
d'une
inculture
musicale
notoire.
Je
n'ai
commencé
la
musique
sérieusement
qu'à
l'âge
de
14
ans,
c'était
vraiment
une
vocation
tardive",
expliquera-t-il
en
1993
à
Jean-Pierre
Bleys
pour
le
magazine
Positif.
Voilà
comment
ce
fils
d'ouvrier
s'est
retrouvé
avec
l'examen
de
piano
en
poche,
malgré
quelques
lacunes
:
"Vous
n'êtes
pas
pianiste,
mais
très
musicien"
lui
dira
l'une
des
membres
du
jury
lors
de
la
remise
de
son
diplôme.
Le
début
de
sa
carrière
de
pianiste
sera
comme
son
instrument,
teinté
de
noir
et
de
blanc.
Mais
d'abord
de
noir
avec
un
grave
accident
de
travail
survenu
tout
juste
six
mois
après
ses
premières
études
de
piano.
Il
lui
vaudra
un
arrêt
de
six
mois
pendant
lesquels
il
pensera
jour
et
nuit
à
sa
seule
raison
de
vivre,
la
musique,
qu'il
ne
pourra
pratiquer
en
raison
de
l'état
de
sa
colonne
vertébrale.
Le
blanc
fait
son
entrée,
puisque
grâce
à
l'insistance
de
son
professeur
de
piano
et
au
nouveau
directeur
du
Conservatoire,
Alfred
Desenclos,
qui
voient
tous
deux
en
lui
un
réel
amour
pour
la
composition,
Georges
est
gardé
comme
élève
et
poursuit
son
apprentissage
dans
une
classe
de
musique
de
chambre
et
d'histoire
de
la
musique
pour
parfaire
sa
culture
musicale.
La
suite
?
Une
pluie
de
récompenses,
une
bourse
de
1
000
francs
et
l'arrivée
à
Paris
dans
la
classe
d'Henri
Busser
au
Conservatoire
National
Supérieur
de
Musique,
tout
en
portant
en
parallèle
le
costume
de
pianiste
de
jazz.
C'est
dans
la
Ville
Lumière,
avec
ses
camarades
du
Conservatoire,
qu'il
arpente
les
salles
de
cinéma
et
se
forge
une
cinéphilie.
Mais
sa
culture
reste
faible
et
son
nouveau
professeur,
Darius
Milhaud,
le
lui
fait
remarquer.
Sous
sa
houlette,
il
va
passer
de
la
musique
symphonique
qu'il
aimait
tant
à
la
musique
de
concert.
Milhaud,
qui
avait
déjà
mis
un
pied
dans
la
composition
de
musiques
de
films
pour
Jean
Renoir
notamment,
lui
fait
rencontrer
Jean
Vilar
qui,
satisfait
de
son
nouveau
poulain,
le
nomme
régisseur
en
charge
de
la
direction
musicale
du
Théâtre
National
Populaire.
De
fil
en
aiguille,
Delerue
se
fait
un
nom
dans
le
milieu
du
théâtre
avec
son
sens
du
lyrisme
et
son
imagination
débordante.
Il
se
voit
également
approcher
par
le
cinéma.
Après
quelques
compositions
pour
des
courts-métrages,
il
est
recruté
par
Alain
Resnais
pour
composer
la
bande
originale
d'"Hiroshima,
mon
amour",
son
premier
succès
dans
le
domaine.
Edouard
Molinaro
("Une
fille
pour
l'été"),
ou
encore
Georges
Lautner
("Arrêtez
les
tambours")
feront
également
appel
à
lui,
suivi
des
réalisateurs
de
La
Nouvelle
Vague,
Jean-Luc
Godard
et
François
Truffaut
en
tête,
qui
font
de
Delerue
leur
compositeur
fétiche.
On
se
souvient
du
Thème
de
Camille
dans
"Le
Mépris"
de
Godard,
tout
comme
ceux
du
trio
"Jules
et
Jim"
de
Truffaut,
dans
lesquels
on
retrouve
son
amour
pour
les
cordes
(le
violon,
la
contrebasse),
ainsi
que
pour
la
flûte
et
la
clarinette.
Autant
d'instruments
qui
s'équilibrent
dans
les
partitions
lyriques
et
les
ritournelles
de
la
vie
signées
Delerue.
"Ses
envoûtements
symphoniques,
ses
velours
d'arpèges,
ses
escadrons
d'instruments
à
vent,
ses
arrière-bans
de
violons
sont
capables
de
briser
l'écorce
des
âmes
les
plus
dures",
dira
de
sa
musique
le
critique
Pierre
Vavasseur.
Devenu
une
référence
pour
le
cinéma
français,
des
réalisateurs
de
comédies
populaires
comme
Gérard
Oury
("Le
Cerveau")
ou
Philippe
de
Broca
("L'Homme
de
Rio")
font
même
appel
à
lui,
qui
s'adapte,
n'ayant
aucun
mépris
pour
le
cinéma
populaire,
bien
au
contraire.
La
pluridisciplinarité,
voilà
la
plus
grande
force
du
compositeur,
prêt
à
remettre
ses
notes
en
question
à
chaque
collaboration.
On
le
retrouve
ainsi
à
la
télévision,
sur
des
feuilletons
à
succès
comme
"Les
Rois
maudits"
ou
"Jacquou
le
croquant".
C'est
à
Bertrand
Blier
qu'il
doit
son
premier
César
en
1979
pour
l'oscarisé
"Préparez
vos
mouchoirs"
avec
Gérard
Depardieu.
L'année
suivante,
il
voit
son
travail
outre-Atlantique
récompensé
par
un
Oscar
pour
"I
love
you,
je
t'aime"
de
George
Roy
Hill.
Car
oui,
Hollywood
aussi
a
mis
en
boîte
son
talent
:
d'Oliver
Stone
("Platoon")
à
Martin
Scorsese
("Casino"),
en
passant
par
Mike
Nichols
("Le
Mystère
Silkwood")
et
Norman
Jewison
("Agnès
de
Dieu"),
les
plus
grands
lui
ont
fait
confiance
pour
l'habillage
musical
de
leurs
oeuvres
restées
intemporelles.
De
retour
en
France
à
la
fin
des
années
1980,
pour
la
fresque
"Chouans
!"
(1988)
de
Philippe
de
Broca,
il
ne
cesse
ensuite
de
faire
des
allers-retours
mais
la
santé
ne
suivra
pas.
Le
20
mars
1992,
il
décède
d'une
crise
cardiaque
à
l'âge
de
67
ans
dans
la
Cité
des
anges.
Il
laisse
derrière
lui
plus
de
200
bandes
originales.
Discographie
:
2011
:
Love
Story,
de
Florian
Habicht
2005
:
Le
journal
d'Alphonse,
d'Elisabeth
Butterfly
1992
:
L'amour
en
trop,
de
Bruce
Beresford
1992
:
Man
Trouble,
de
Bob
Rafelson
1992
:
Screen
Two
(Série
TV)
1992
:
Céline,
de
Jean-Claude
Brisseau
1992
:
Diên
Biên
Phù,
de
Pierre
Schoendoerffer
1991
:
La
p'tite
arnaqueuse,
de
John
Hughes
1991
:
Black
Robe,
de
Bruce
Beresford
1991
:
Without
Warning
:
The
James
Brady
Story,
de
Michael
Toshiyuli
Uno
(Téléfilm)
1991
:
La
reine
blanche,
de
Jean-Loup
Hubert
1991
:
American
Friends,
de
Tristram
Powell
1991
:
The
Josephine
Baker
Story,
de
Brian
Gibson
1990
:
Mister
Johnson,
de
Bruce
Beresford
1990
:
Cadence,
de
Martin
Sheen
1990
:
Etat
de
force,
de
Bruno
Barreto
1990
:
Joe
contre
le
volcan,
de
John
Patrick
Shanley
1989
:
Potins
de
femmes,
d'Herbert
Ross
1989
:
Georg
Elser
-
Einer
aus
Deutschland,
de
Klaus
Maria
Brandauer
1989
:
Der
Atem,
de
Niklaus
Schilling
1989
:
La
révolution
française,
de
Robert
Enrico
et
Richard
T.
Heffron
1989
:
Son
alibi,
de
Bruce
Beresford
1988
:
Au
fil
de
la
vie,
de
Garry
Marshall
1988
:
Jumeaux,
d'Ivan
Reitman
1988
:
Paris
by
Night,
de
David
Hare
1988
:
Heartbreak
Hotel,
de
Chris
Columbus
1988
:
Memories
of
Me,
d'Henry
Winkler
1988
:
Le
complot,
d'Agnieszka
Holland
1988
:
A
Summer
Story,
de
Piers
Haggard
1988
:
Biloxi
Blues,
de
Mike
Nichols
1988
:
Chouans!,
de
Philippe
de
Broca
1988
:
Une
femme
en
péril,
de
Peter
Yates
1987
:
The
Lonely
Passion
of
Judith
Hearne,
de
Jack
Clayton
1987
:
Le
dragueur,
de
James
Toback
1987
:
Maid
to
Order,
d'Amy
Holden
Jones
1987
:
Un
homme
amoureux,
de
Diane
Kurys
1987
:
Her
Secret
Life,
de
Buzz
Kulik
(Téléfilm)
1987
:
Les
rescapés
de
Sobibor,
de
Jack
Gold
(Téléfilm)
1986-1987
:
Histoires
fantastiques
(Série
TV)
1987
:
Queenie,
la
force
du
destin
(Série
TV)
1986
:
Platoon,
d'Oliver
Stone
1986
:
Crimes
du
coeur,
de
Bruce
Beresford
1986
:
Le
11ème
commandement,
de
Michael
Anderson
(Téléfilm)
1986
:
Prisonnières
des
Japonais,
de
Buzz
Kulik
(Téléfilm)
1986
:
Descente
aux
enfers,
de
Francis
Girod
1986
:
Touch
and
Go,
de
Robert
Mandel
1986
:
Sin
of
Innocence,
d'Arthur
Allan
Seidelman
(Téléfilm)
1986
:
Conseil
de
famille,
de
Costa-Gavras
1986
:
Salvador,
d'Oliver
Stone
1985
:
Mesmerized,
de
Michael
Laughlin
1985
:
Stone
Pillow,
de
George
Schaefer
(Téléfilm)
1985
:
Coeur
en
sursis,
de
Rick
Wallace
(Téléfilm)
1985
:
Amos,
le
grand-père
justicier,
de
Michael
Tuchner
(Téléfilm)
1985
:
Maxie,
de
Paul
Aaron
1985
:
Agnès
de
Dieu,
de
Norman
Jewison
1985
:
Deadly
Intentions,
de
Noel
Black
(Téléfilm)
1985
:
The
Execution,
de
Paul
Wendkos
(Téléfilm)
1984
:
Arch
of
Triumph,
de
Waris
Hussein
(Téléfilm)
1984
:
Silence
of
the
Heart,
de
Richard
Michaels
(Téléfilm)
1984
:
Qualcosa
di
biondo,
de
Maurizio
Ponzi
(Téléfilm)
1984
:
Love
Thy
Neighbor,
de
Tony
Bill
(Téléfilm)
1984
:
Les
morfalous,
d'Henri
Verneuil
1984
:
Femmes
de
personne,
de
Christopher
Frank
1984
:
Mademoiselle
Julie,
d'Yves-André
Hubert
(Téléfilm)
1984
:
Le
bon
plaisir,
de
Francis
Girod
1984
:
Ma
fille,
mes
femmes
et
moi
(Série
TV)
1983
:
Le
mystère
Silkwood,
de
Mike
Nichols
1983
:
Vivemant
dimanche!,
de
François
Truffaut
1983
:
Lily
Lamont,
d'Edouard
Logereau
(Téléfilm)
1983
:
Liberty
belle,
de
Pascal
Kané
1983
:
L'été
meurtrier,
de
Jean
Becker
1983
:
Surexposé,
de
James
Toback
1983
:
Un
homme,
une
femme,
un
enfant,
de
Dick
Richards
1983
:
Le
retour
de
l'étalon
noir,
de
Robert
Dalva
1983
:
L'Africain,
de
Philippe
de
Broca
1982
:
The
Escape
Artist,
de
Caleb
Deschanel
1982
:
Partners,
de
James
Burrows
1982
:
Guy
de
Maupassant,
de
Michel
Drach
1982
:
La
passante
du
Sans-Souci,
de
Jacques
Rouffio
1982
:
A
Little
Sex,
de
Bruce
Paltrow
1982
:
Josepha,
de
Christopher
Frank
1981
:
Broken
English,
de
Michie
Gleason
1981
:
Mon
meilleur
Noël
(Série
TV)
1981
:
The
Borgias
(Série
TV)
1981
:
Riches
et
célèbres,
de
George
Cukor
1981
:
La
femme
d'à
côté,
de
François
Truffaut
1981
:
Sanglantes
confessions,
d'Ulu
Grosbard
1981
:
Garde
à
vue,
de
Claude
Miller
1981
:
La
vie
continue,
de
Moshé
Mizrahi
1981
:
Le
rescapé
de
Tikeora,
de
Jean
L'Hôte
(Téléfilm)
1981
:
Documenteur,
d'Agnès
Varda
1981
:
Histoires
extraordinaires
(Série
TV)
1981
:
Nana
(Série
TV)
1981
:
Le
mythomane
(Série
TV)
1980
:
Arsène
Lupin
joue
et
perd
(Série
TV)
1980
:
Les
amours
du
mal-aimé,
de
Marcel
Camus
(Téléfilm)
1980
:
Le
volcan
de
la
rue
Arbat,
de
Philippe
Ducrest
(Téléfilm)
1978-1980
:
Cinéma
16
(Série
TV)
1980
:
Les
chevaux
du
soleil
(Série
TV)
1980
:
Le
dernier
métro,
de
François
Truffaut
1980
:
Richard's
Things,
...
1980 : Willie & Phil, de Paul Mazursky
1980 : Fantômas (Série TV)
1980 : La folle de Chailot, de Georges Paumier (Téléfilm)
1980 : Les visiteurs (Série TV)
1980 : Premier voyage, de Nadine Trintignant
1979 : Histoires de voyous : Le concierge revient tout de suite, de Michel Wyn (Téléfilm)
1979 : Le moutin noir, de Jean-Pierre Moscardo
1979 : Le jeune homme vert (Série TV)
1979 : I love you, je t'aime, de George Roy Hill
1979 : Un scandale presque parfait, de Michael Ritchie
1979 : Mijn vriend, de Fons Rademakers
1979 : Pourquoi Patricia ?, de Guy Jorré (Téléfilm)
1979 : Pierrot mon ami, de François Leterrier (Téléfilm)
1979 : L'amour en fuite, de François Truffaut
1979 : Le cavaleur, de Philippe de Broca
1979 : Joséphine ou la comédie des ambitions (Série TV)
1978 : Allégra, de Michel Wyn (Téléfilm)
1978 : La petite fille en velours bleu, d'Alan Bridges
1978 : Histoires de voyous : Le casse des rois mages, de Denys de La Patellière (Téléfilm)
1978 : Histoires de voyous : La saison des voleurs, de Michel Wyn (Téléfilm)
1978 : Va voir maman, papa travaille, de François Leterrier
1978 : Préparez vos mouchoirs, de Bertrand Blier
1978 : The Cousteau Odyssey (Série TV)
1977 : Banlieu Sud-Est (Série TV)
1977 : Le chandelier, de Claude Santelli (Téléfilm)
1977 : Milady, de François Leterrier (Téléfilm)
1977 : Le point de mire, de Jean-Claude Tramont
1977 : Julia, de Fred Zinnemann
1977 : Tendre poulet, de Philippe de Broca
1977 : Le naufrage de Monte-Cristo, de Josée Dayan (Téléfilm)
1977 : Bergeval père et fils (Série TV)
1977 : Julie pot-de-colle, de Philippe de Broca
1976 : Le grand escogriffe, de Claude Pinoteau
1976 : Le jeu du solitaire, de Jean-François Adam
1976 : Comme un boomerang, de José Giovanni
1976 : Police Python 357, d'Alain Corneau
1976 : Jamais plus toujours, de Yannick Bellon
1976 : Oublie-moi, Mandoline, de Michel Wyn
1976 : Calmos, de Bertrand Blier
1975 : Splendeurs et misères des courtisanes (Série TV)
1975 : L'incorrigible, de Philippe de Broca
1975 : Les compagnons d'Eleusis (Série TV)
1975 : Pourquoi la robe d'Anna ne veut pas redescendre, d'Armand Ridel (Téléfilm)
1975 : Plus aimer que la mort, de Michel Wyn (Téléfilm)
1975 : L'imporant c'est d'aimer, d'Andrzej Zulawski
1975 : Paul Gauguin (Série TV)
1974 : Sultan à vendre, de Paul Paviot (Téléfilm)
1974 : La cloche tibétaine (Série TV)
1974 : Paul et Virginie (Série TV)
1974 : La gifle, de Claude Pinoteau
1974 : La femme de Jean, de Yannick Bellon
1974 : Entre toutes les femmes, de Maurice Cazeneuve (Téléfilm)
1974 : Alien Thunder, de Claude Fournier
1973 : Le jour du dauphin, de Mike Nichols
1973 : Le mauvais, de Paul Paviot (Téléfilm)
1973 : Molière pour rire et pour pleurer (Série TV)
1973 : Là-haut, les quatre saisons (Série TV)
1973 : Love Comes Quietly, de Nikolai van der Heyde
1973 : Chacal, de Fred Zinnemann
1973 : La nuit américaine, de François Truffaut
1973 : L'éducation sentimentale (Série TV)
1972-1973 : Les rois maudits (Série TV)
1973 : Les fleurs succombent en Arcadie (Série TV)
1972 : L'homme qui revient de loin (Série TV)
1972 : Quelque part quelqu'un, de Yannick Bellon
1972 : Une belle fille comme moi, de François Truffaut
1972 : Chère Louise, de Philippe de Broca
1972 : L'ingénu, de Nirbert Carbonnaux
1971 : Les deux Anglaises et le continent, de François Truffaut
1971 : O.S.S. 117 tue le taon, d'André Leroux (Téléfilm)
1971 : Romulus le grand, de Marcel Cravenne (Téléfilm)
1971 : Les cavaliers, de John Frankenheimer
1971 : Children of the World (Téléfilm)
1971 : Les aveux les plus doux, d'Edouard Molinaro
1971 : Adieu mes quinze ans (Série TV)
1971 : Yvette, de Jean-Pierre Marchand (Téléfilm)
1971 : Mira, de Fons Rademakers
1971 : Une autre vie (Série TV)
1971 : Comptes à rebours, de Roger Pigaut
1971 : Crime et châtiment, de Stellio Lorenzi (Téléfilm)
1971 : Malpertuis, d'Harry Kümel
1970 : Lancelot du lac, de Claude Santelli (Téléfilm)
1970 : Les cousins de la Constance (Série TV)
1970 : La promesse de l'aube, de Jules Dassin
1970 : Mauregard (Série TV)
1970 : Un otage, de Marcel Cravenne (Téléfilm)
1970 : Le conformiste, de Bernardo Bertolucci
1970 : Les caprices de Marie, de Philippe de Broca
1970 : Heureux qui comme Ulysse..., d'Henri Colpi
1969 : Les gommes, de Lucien Deroisy et René Micha
1969 : Anne des mille jours, de Charles Jarrott
1969 : Jacquou le croquant (Série TV)
1969 : Promenade avec l'amour et la mort, de John Huston
1969 : Thibaud (Série TV)
1969 : Hibernatus, d'Edouard Molinaro
1969 : Love, de Ken Russell
1969 : Le cerveau, de Gérard Oury
1969 : Fortune (Série TV)
1969 : Le diable par la queue, de Philippe de Broca
1968 : Les grandes espérances, de Marcel Cravenne (Téléfilm)
1968 : Mandat d'arrêt, de Ralph Thomas
1968 : Interlude, de Kevin Billington
1968 : Les cracks, d'Alex Joffé
1968 : La petite vertu, de Serge Korber
1968 : Hélène ou la joie de vivre, de Claude Barma (Téléfilm)
1967 : Mary de Cork, de Maurice Cazeneuve (Téléfilm)
1967 : Le théâtre de la jeunesse : Le secret de Wilheilm Storitz, d'Eric Le Hung (Téléfilm)
1967 : Oscar, d'Edouard Molinaro
1967 : Chaque soir à neuf heures, de Jack Clayton
1967 : Jeudi on chantera comme dimanche, de Luc de Heusch
1967 : Le vieil homme et l'enfant, de Claude Berri
1967 : La vingt-cinquième heure, d'Henri Verneuil
1967 : Huckleberry Finn, de Marcel Cravenne (Téléfilm)
1967 : Le dimanche de la vie, de Jean Herman
1966 : Le roi de coeur, de Philippe de Broca
1966 : Un homme pour l'éternité, de Fred Zinnermann
1966 : Mona, l'étoile sans nom, d'Henri Colpi
1965 : Gaspard des montagnes, de Jean-Pierre Decourt (Téléfilm)
1965 : Viva Maria!, de Louis Malle
1965 : Les tribulations d'un Chinois en Chine, de Philippe de Broca
1965 : Pleins feux sur Stanislas, de Jean-Charles Dudrumet
1965 : La fleur de l'âge, de John Guillermin
1965 : Le bonheur conjugal (Série TV)
1965 : Les pianos mécaniques, de Juan Antonio Bardem
1965 : Le corniaud, de Gérard Oury
1965 : L'amour à la chaîne, de Claude de Givray
1964 : Mata Hari, agent H21, de Jean-Louis Richard
1964 : Les Indes noires, de Marcel Bluwal (Téléfilm)
1964 : L'âge ingrat, de Gilles Grangier
1964 : Lucky Jo, de Michel Deville
1964 : Un monsieur de compagnie, de Philippe de Broca
1964 : L'insoumis, d'Alain Cavalier
1964 : Joyeuses commères de Windsor, de Lazare Iglesis (Téléfilm)
1964 : L'autre femme, de François Villiers
1964 : Le théâtre de la jeunesse (Série TV)
1964 : Le mangeur de citrouilles, de Jack Clayton
1964 : Des pissenlits par la racine, de Georges Lautner
1964 : Laissez tirer les tireurs, de Guy Lefranc
1964 : Woyzeck, de Marcel Bluwal (Téléfilm)
1964 : La peau douce, de François Truffaut
1964 : Cent mille dollars au soleil, d'Henri Verneuil
1964 : Du grabuge chez les veuves, de Jacques Poitrenaud
1964 : Le gros coup, de Jean Valère
1964 : French Dressing, de Ken Russell
1964 : L'homme de Rio, de Philippe de Broca
1963 : Une femme est passée..., de Juan Antonio Bardem
1963 : Chair de poule, de Julien Duvivier
1963 : Le journal d'un fou, de Roger Coggio
1963 : Le mépris, de Jean-Luc Godard
1963 : Lektionen, d'Eugène Ionesco (Téléfilm)
1963 : Vacances portugaises, de Pierre Kast
1963 : Monsieur Laplanche, de Bertrand Dunoyer (Téléfilm)
1963 : L'aîné des Ferchaux, de Jean-Pierre Melville
1963 : L'honorable Stanislas, agent secret, de Jean-Charles Dudrumet
1963 : Rififi à Tokyo, de Jacques Deray
1963 : L'immortelle, d'Alain Robbe-Grillet
1963 : L'abominable homme des douanes, de Marc Allégret
1963 : Jusqu'au bout du monde, de François Villiers
1963 : Merci Natercia!, de Pierre Kast
1962 : La dénonciation, de Jacques Doniol-Valcroze
1962 : Le crime ne paie pas, de Gérard Oury
1962 : Le monte-charge, de Marcel Bluwal
1962 : Le petit garçon de l'ascenceur, de Pierre Granier-Deferre
1962 : En plein cirage, de Georges Lautner
1962 : Cartouche, de Philippe de Broca
1962 : Le Cid, de Lazare Iglesis (Téléfilm)
1962 : Jules et Jim, de François Truffaut
1961 : Sahara an IV, de Max Gérard
1961 : Un coeur gros comme ça, de François Reichenbach
1961 : La reine morte, de Lazare Iglesis (Téléfilm)
1961 : Par-dessus le mur, de Jean-Paul Le Chanois
1961 : La morte-saison des amours, de Pierre Kast
1961 : L'affaire Nina B., de Robert Siodmak
1961 : Une aussi longue absence, d'Henri Colpi
1961 : Le bonheur est pour demain, d'Henri Fabiani
1961 : La mort de Belle, d'Edouard Molinaro
1961 : L'amant de cinq jours, de Philippe de Broca
1961 : La récréation, de Fabien Collin et François Moreuil
1961 : Arrêtez les tambours, de Georges Lautner
1960 : Une question d'assurance, de Pierre Kast
1960 : Tirez sur le pianiste, de François Truffaut
1960 : Le farceur, de Philippe de Broca
1960 : Les jeux de l'amour, de Philippe de Broca
1960 : Marche ou crève, de Georges Lautner
1960 : Andromaque, de Lazare Iglesis (Téléfilm)
1960 : Classe tous risques, de Claude Sautet
1960 : Une fille pour l'été, d'Edouard Molinaro
1960 : Le bel âge, de Pierre Kast
1959 : Fleuve invisible, de Carlos Vilardebo
1959 : Images pour Baudelaire, de Pierre Kast
1959 : Macbeth, de Claude Barma (Téléfilm)
1959 : Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais
1957 : Amour de poche, de Pierre Kast
1957 : La nuit des rois, de Claude Loursais (Téléfilm)
1957 : Don Carlos, de Pierre Viallet (Téléfilm)
1956 : La rue chinoise, de Guy Loriquet
1956 : Marche française, d'Henri Fabiani
1956 : Sur l'Arroyo, de Guy Loriquet
1956 : Tu enfanteras sans douleur, d'Henri Fabiani
1955 : Ames d'argile, de Bernard Toublanc-Michel
1954 : Au pays de Guillaume le Conquérant, de Daniel Wronecki
1954 : Au rythme du siècle, d'Henri Charpentier
1954 : La grande cité d'Angkor, de René Rouy
1954 : Madagascar, de René Rouy
1954 : Première croisière, de Jean Reynaud
1954 : Regards sur l'Indochine, de René Rouy
1953 : Berre, cité du pétrole, de Louis-Emile Galey
1953 : Le largage à six heures du matin, de Louis-Emile Galey
1952 : L'aventure et ses Terras-Nuevas, de Jean Reynaud
1952 : Les techniciens en pompoms rouges, de Louis-Emile Galey
1952 : Princes du sang, de Stellio Lorenzi (Téléfilm)
1951 : Ingénieurs de la mer
1950 : Le mystère du quai de Conti
Récompenses :
1981 : César de la meilleure musique pour Le Dernier Métro
1980 : César de la meilleure musique pour L'Amour en fuite
1980 : Oscar de la meilleure partition originale pour I love you, je t'aime
1979 : César de la meilleure musique pour Préparez vos mouchoirs
Ses dernières vidéos
Toutes ses vidéos
Que le diable nous emporte - Bande annonce 1 - VF - (2017)

Une Aussi longue absence - bande annonce - (2016)

Orfeu negro - Bande annonce 5 - VF - (1959)
