Louis de Funès
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Génie du comique de situation du cinéma français du XXème siècle, Louis de Funès a connu beaucoup de petites vadrouilles avant d'en connaître de grandes. Né à Courbevoie la veille de la première guerre mondiale, il enchaîne les métiers pour payer ses études de comédie : fourreur, étalagiste, dessinateur et même photographe.
Le
comble
avec
ce
fils
d'immigrés
andalous
c'est
qu'avant
de
vivre
du
rire,
c'est
à
cause
de
lui
qu'il
se
fait
renvoyer
de
tous
ses
postes.
Alors
qu'il
travaille
comme
apprenti
fourreur
après
avoir
fréquenté
l'école
professionnelle
de
fourrure
de
Bastille,
il
est
mis
à
la
porte
pour
avoir
joué
des
tours
à
une
cliente.
Leader
de
la
bande,
c'est
évidemment
lui
qui
prend
le
premier
pour
les
autres.
Déjà
à
l'école,
Louis
de
Funès
de
Galarza
collectionnait
les
punitions.
Par
chance,
une
autre
maison
de
couture
l'engage
comme
arpète,
chargé
d'effectuer
les
livraisons
et
de
réaliser
des
tâches
peu
reluisantes.
Tour
à
tour
dessinateur
industriel
dans
une
usine
automobile,
classeur,
aide-comptable
et
étalagiste
pendant
cinq
ans,
il
connait
mille
métiers
mille
misères
comme
le
dit
l'expression.
Des
petites
vadrouilles
qui
ne
s'arrêtent
pas
là
puisqu'après
s'être
fait
payer
une
poignée
de
cours
de
musique
par
sa
mère,
Louis
devient
pianiste
de
bar,
notamment
du
côté
de
Pigalle.
Dans
l'ombre
de
bistrots,
restaurants
et
bars
pas
toujours
bien
fréquentés,
il
s'assoit
derrière
son
piano
et
joue
des
heures.
Le
dernier
lieu
dans
lequel
il
se
produit
le
paye
1
000
francs
et
le
nourri
pour
jouer
sans
interruption
de
5h30
du
matin
à
17h30
du
soir.
Un
jour
alors
qu'il
rentre
vanné
de
l'une
de
ses
représentations,
il
croise
la
route
de
sa
bonne
étoile
sur
un
quai
de
métro
en
la
personne
de
Daniel
Gélin.
Ce
dernier,
alors
comédien
de
théâtre
et
de
cinéma
très
sollicité,
lui
transmet
le
virus
de
la
comédie.
Mais
le
succès
est
tardif.
Ne
récoltant
que
des
rôles
de
figurants
pendant
près
de
vingt-cinq
ans,
il
ouvre
une
porte
dans
le
film
La
"Tentation
de
Barbizon"
en
1946
et
dit
deux
mots
("Ma
veste")
dans
la
pièce
de
théâtre
"Un
tramway
nommé
désir"
à
la
fin
des
années
1940.
Mais
lui
qui
a
déjà
mangé
de
la
vache
enragé
dans
les
premières
années
de
sa
vie
professionnelle,
décide
de
persévérer.
Une
décision
qui,
sans
le
savoir,
va
avoir
un
impact,
dès
les
années
1950,
sur
le
cinéma
comique
français.
Comme
ses
idoles
du
cinéma
muet
américain
-
Buster
Keaton
et
Charlie
Chaplin
en
tête
-
à
qui
il
va
emprunter
une
certaine
gestuelle
et
des
mimiques
entrées
dans
l'histoire,
Louis
de
Funès,
alors
âgé
de
30
ans,
rencontre
ses
premiers
succès
au
milieu
des
années
1950
avec
les
comédies
"Ah
!
les
belles
bacchantes"
(1954),
de
Jean
Loubignac
et
"La
Traversée
de
Paris"
(1956),
de
Claude
Autant-Lara
où
il
est
l'épicier
Jambier
aux
côtés
de
Jean
Gabin
et
Bourvil.
Avec
ce
dernier,
le
trublion
va
former
un
duo
incroyable
et
devenir
l'un
des
premiers
acteurs
comiques
français
à
être
synonyme
de
recettes
pharamineuses
au
box-office.
Bourvil
et
De
Funès
rapportent
gros
surtout
dans
"La
Grande
Vadrouille"
de
Gérard
Oury,
avec
ses
17
267
000
spectateurs
et
sa
pole
position
en
tête
du
box-office
français
pendant
32
ans.
Dans
cette
comédie
sortie
en
1966,
ils
parviennent
tout
deux
à
faire
rire
aux
éclats
le
public
sur
un
sujet
qui
ne
s'y
prête
pourtant
pas
:
l'Occupation
allemande.
Pourtant
vécue
comme
un
traumatisme
par
les
Français
de
l'époque,
cette
phase
de
l'Histoire
devient
ici
complètement
cartoonesque.
Le
duo
s'était
déjà
illustré
avec
brio
l'année
précédente
dans
"Le
Corniaud",
toujours
réalisé
par
Gérard
Oury,
dans
lequel
son
personnage
de
riche
industriel
et
sa
Rolls
croisait
un
Français
moyen
à
bord
de
sa
2CV
sur
la
route
de
ses
vacances
en
Italie.
Ce
rôle
de
brave
Français
de
la
classe
moyenne,
Louis
de
Funès
ne
le
connaîtra
que
trop
bien
dans
les
années
qui
suivent,
jusqu'à
en
faire
sa
marque
de
fabrique.
Dans
la
saga
"Les
Gendarmes",
parodie
de
l'uniforme
beige
et
noir,
il
se
glisse
par
exemple
dans
la
peau
du
maréchal
des
logis-chef
Ludovic
Crucho,
n'hésitant
pas
à
hurler
sur
son
équipe
-
et
sa
femme
à
l'écran
Josépha
Crucho
incarnée
par
Claude
Gensac
-
composée
notamment
de
l'inoubliable
adjudant
Antoine
Gerber
campé
par
Michel
Galabru.
La
trilogie
"Fantômas",
avec
Jean
Marais,
lui
donne
également
l'occasion
de
porter
l'uniforme,
celui
du
commissaire
Paul
Juve.
Ces
rôles
de
figures
autoritaires
ne
feront
qu'accroître
la
popularité
de
son
personnage
de
petit
homme
nerveux
passant
son
temps
à
se
plaindre
et
à
se
dépêtrer
d'aventures
complètement
folles
faisant
rire
des
générations
entières.
Le
voilà
le
talent
de
ce
comique
des
comiques,
allergique
aux
drames
et
amateur
de
vaudevilles
:
s'associer
à
des
productions
que
les
enfants
puissent
voir.
"Je
voudrais
jouer
des
films
qui
fassent
rire
les
gens
comme
s'ils
étaient
à
Guignol
(...)
Et
non
pas
des
films
ou
des
pièces
pensées,
sérieuses,
qui
ne
me
conviennent
pas
même
si
j'aime
bien
les
voir"
confiait-il
dans
une
interview
en
1964.
Et
en
prenant
du
galon
en
tant
qu'acteur
de
cinéma,
notamment
en
jouant
aux
côtés
de
Coluche
dans
"Le
Grand
Restaurant"
en
1966,
il
fait
par
la
suite
en
sorte
de
collaborer
avec
des
réalisateurs
capables
d'exaucer
ses
voeux.
Ils
étaient
trois
à
comprendre
sa
mécanique
du
rire
:
Gérard
Oury
bien
sûr,
mais
également
Édouard
Molinaro,
qui
l'a
fait
jouer
dans
"Oscar",
ce
succès
théâtral
devenu
culte
au
cinéma
notamment
grâce
à
ses
mimiques
mémorables
à
la
Tex
Avery
et
enfin
Jean
Girault,
le
cinéaste
qui
l'aura
fait
tourner
dans
onze
films
au
total
("Les
Gendarmes",
"Pouic-Pouic",
"Faites
sauter
la
banque",
"L'Avare"...).
C'est
d'ailleurs
ce
dernier
qui
lui
donnera
en
1981
l'un
de
ses
derniers
rôles
inoubliables
du
paysan
Le
Glaude
dans
"La
Soupe
aux
choux"
avec
Jacques
Villeret.
Cette
mécanique
du
rire
qui
l'a
rendu
si
célèbre
a
aussi
servi
à
des
fins
plus
engagés
comme
dans
"Les
Aventures
de
Rabbi
Jacob",
en
1973,
un
film
antiraciste
tourné
avec
son
ami
juif
et
agnostique
Gérard
Oury.
Dans
la
peau
de
Victor
Pivert,
patron
d'usine
catholique
et
bourgeois
qui
va
se
retrouver
tous
poils
dehors
avec
une
kippa
sur
la
tête,
De
Funès
est
au
sommet
de
son
art
populaire.
Un
art
qu'il
cultivait
en
observant
les
gens
au
quotidien,
reprenant
leurs
tics
et
leurs
manies
à
sa
sauce.
Et
si
beaucoup
connaissaient
sur
le
bout
des
doigts
ses
personnages
qui
résonnent
encore
aujourd'hui
dans
la
mémoire
cinéphile
collective,
peu
connaissaient
l'homme
derrière
le
clown.
À
la
maison
avec
ses
deux
enfants
et
sa
dernière
femme,
Jeanne
Barthélémy
de
Maupassant,
le
rire
s'invitait
peu
souvent
à
table.
Grand
timide
et
peu
à
l'aise
lorsqu'il
s'agissait
d'évoquer
sa
vie
privée
en
interview,
cet
économe
-
qui
préférait
cultiver
les
roses
de
son
jardin
plutôt
que
d'aller
faire
la
fête
avec
ses
équipes
de
tournage
-
avait
dans
l'intimité
un
caractère
ombrageux
fait
de
moments
d'éclaircies
et
de
moments
nuageux.
A
la
fin
des
années
1980,
l'homme,
taciturne
à
la
vie,
est
victime
de
problèmes
cardiaques.
Le
jardinage
l'aidera
à
reprendre
goût
à
la
vie.
Et
le
cinéma
bien
sûr
!
En
2014,
Louis
de
Funès
aurait
eu
100
ans.
Lui
qui
confiait
vouloir
faire
un
film
entièrement
muet
n'aura
pas
eu
le
temps
de
faire
rire
en
silence.
Le
silence,
c'est
d'ailleurs
peut-être
ce
qui
attend
le
musée
qui
lui
est
consacré.
Installé
depuis
l'été
2014
dans
le
château
de
Clermont
au
Cellier,
en
Loire-Atlantique,
cette
bâtisse
que
possédaient
ses
parents
pourrait
bien
avoir
son
clap
de
fin
à
la
fin
de
l'année
2016.
En
effet,
l'association
qui
gérait
le
musée
jusqu'à
présent
ne
détient
pas
les
murs,
murs
que
la
propriétaire
des
lieux
souhaite
vendre.
Une
...
Filmographie :
1982 : Le Gendarme et les Gendarmettes, de Jean Girault et Tony Aboyantz
1981 : La Soupe aux choux, de Jean Girault
1980 : L'Avare, de Jean Girault et Louis de Funès
1979 : Le Gendarme et les Extra-terrestres, de Jean Girault
1978 : La Zizanie, de Claude Zidi
1976 : L'Aile ou la Cuisse, de Claude Zidi
1973 : Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury
1971 : Sur un arbre perché, de Serge Korber
1971 : Jo, de Jean Girault
1971 : La Folie des grandeurs, de Gérard Oury
1970 : L'Homme orchestre, de Serge Korber
1970 : Le Gendarme en balade, de Jean Girault
1969 : Hibernatus, d'Édouard Molinaro
1968 : Le Petit Baigneur, de Robert Dhéry
1968 : Le Tatoué, de Denys de La Patellière
1968 : Le gendarme se marie, de Jean Girault
1967 : Fantômas contre Scotland Yard, d'André Hunebelle
1967 : Les Grandes Vacances, de Jean Girault
1967 : Oscar, d'Édouard Molinaro
1966 : Le Grand Restaurant, de Jacques Besnard
1966 : La Grande Vadrouille, de Gérard Oury
1965 : Le Corniaud, de Gérard Oury
1965 : Le Gendarme à New York, de Jean Girault
1965 : Fantômas se déchaîne, d'André Hunebelle
1964 : Des pissenlits par la racine, de Georges Lautner
1964 : Une souris chez les hommes ou Un drôle de caïd, de Jacques Poitrenaud
1964 : Le Gendarme de Saint-Tropez, de Jean Girault
1964 : Fantômas, d'André Hunebelle
1964 : Faites sauter la banque !, de Jean Girault
1963 : Les Veinards, sketch Le Gros Lot, de Jack Pinoteau
1963 : Pouic-Pouic, de Jean Girault
1963 : Carambolages, de Marcel Bluwal
1962 : La Vendetta, de Jean Chérasse
1962 : Le Gentleman d'Epsom, de Gilles Grangier
1962 : Nous irons à Deauville, de Francis Rigaud
1961 : Le Capitaine Fracasse, de Pierre Gaspard-Huit
1961 : La Belle Américaine, de Robert Dhéry
1961 : Dans l'eau qui fait des bulles, ou Le garde-champêtre mène l'enquête, de Maurice Delbez
1960 : Certains l'aiment froide, de Jean Bastia
1960 : Les Tortillards, de Jean Bastia
1960 : Candide ou l'Optimisme au XXe siècle, de Norbert Carbonnaux
1959 : Fripouillard et Cie, de Steno
1959 : Un coup fumant ou Toto à Madrid, de Steno
1959 : Mon pote le gitan, de François Gir
1958 : Ni vu... Ni connu..., d'Yves Robert
1958 : Taxi, Roulotte et Corrida, d'André Hunebelle
1958 : La Vie à deux, de Clément Duhour
1957 : Comme un cheveu sur la soupe, de Maurice Regamey
1956 : La Traversée de Paris, de Claude Autant-Lara
1956 : La Bande à papa, de Guy Lefranc
1956 : Bonjour sourire, de Claude Sautet
1956 : Bébés à gogo, de Paul Mesnier
1956 : La Loi des rues, de Ralph Habib
1956 : Courte Tête, de Norbert Carbonnaux
1956 : Papa, maman, ma femme et moi, de Jean-Paul Le Chanois
1955 : Napoléon, de Sacha Guitry
1955 : Ingrid : Die Geschichte eines Fotomodells, de Géza von Radványi
1955 : L'Impossible Monsieur Pipelet, d'André Hunebelle
1955 : Les Hussards, d'Alex Joffé
1955 : Si Paris nous était conté, de Sacha Guitry
1955 : Frou-Frou, d'Augusto Genina
1954 : Le Blé en herbe, de Claude Autant-Lara
1954 : Le Chevalier de la nuit, de Robert Darène
1954 : Les Corsaires du bois de Boulogne, de Norbert Carbonnaux
1954 : Les hommes ne pensent qu'à ça, d'Yves Robert
1954 : Les Intrigantes, d'Henri Decoin
1954 : Mam'zlle Nitouche, d'Yves Allégret
1954 : Le Mouton à cinq pattes, d'Henri Verneuil
1954 : Papa, maman, la bonne et moi, de Jean-Paul Le Chanois
1954 : Les pépées font la loi, de Raoul André
1954 : La Reine Margot, de Jean Dréville
1954 : Scènes de ménage, d'André Berthomieu
1954 : Tourments, de Jacques Daniel-Norman
1954 : Ah ! les belles bacchantes, de Jean Loubignac
1954 : Les Impures, de Pierre Chevalier
1953 : Week-end à Paris, de Gordon Parry
1953 : Les Compagnes de la nuit, de Ralph Habib
1953 : La Vie d'un honnête homme, de Sacha Guitry
1953 : L'Étrange Désir de monsieur Bard, de Géza von Radványi
1953 : Dortoir des grandes, d'Henri Decoin
1953 : Au diable la vertu, de Jean Laviron
1953 : Légère et court vêtue, de Jean Laviron
1953 : Capitaine Pantoufle, de Guy Lefranc
1953 : Le Secret d'Hélène Marimon, d'Henri Calef
1953 : Faites-moi confiance, de Gilles Grangier
1953 : Mon frangin du Sénégal, de Guy Lacourt
1953 : Poisson d'avril, de Gilles Grangier
1952 : Ils étaient cinq, de Jack Pinoteau
1952 : Les Dents longues, de Daniel Gélin
1952 : Agence matrimoniale, de Jean-Paul Le Chanois
1952 : La Fugue de monsieur Perle, de Pierre Gaspard-Huit
1952 : Elle et moi, de Guy Lefranc
1952 : Je l'ai été trois fois, de Sacha Guitry
1952 : Monsieur Taxi, d'André Hunebelle
1952 : Monsieur Leguignon lampiste, de Maurice Labr
1952 : Moineaux de Paris, de Maurice Cloche
1952 : L'amour n'est pas un péché, de Claude Cariven
1952 : La Putain respectueuse, de Charles Brabant et Marcello Pagliero
1952 : La Tournée des grands ducs, d'André Pellenc et Norbert Carbonnaux
1952 : Tambour battant, de Georges Combret
1951 : Knock, de Guy Lefranc
1951 : Folie douce, de Jean-Paul Paulin
1951 : Édouard et Caroline, de Jacques Becker
1951 : La Rose rouge, de Marcello Pagliero
1951 : Sans laisser d'adresse, de Jean-Paul Le Chanois
1951 : La vie est un jeu, de Raymond Leboursier
1951 : La Passante, d'Henri Calef
1951 : La Poison, de Sacha Guitry
1951 : Pas de vacances pour Monsieur le Maire, de Maurice Labro
1951 : Le Dindon, de Claude Barma
1951 : Ma femme est formidable, d'André Hunebelle
1951 : Les loups chassent la nuit, de Bernard Borderie
1951 : Le Voyage en Amérique, d'Henri Lavorel
1950 : Quai de Grenelle, d'Emil-Edwin Reinert
1950 : Le Roi du bla bla bla, de Maurice Labro
1950 : Boniface somnambule, de Maurice Labro
1950 : La Rue sans loi, de Claude Dolbert et Marcel Gibaud
1950 : L'Amant de paille, de Gilles Grangier
1950 : Bibi Fricotin, de Marcel Blistène
1949 : Du Guesclin, de Bernard de Latour
1949 : Rendez-vous avec la chance, d'Emil-Edwin Reinert
1949 : Je n'aime que toi, de Pierre Montazel
1949 : Mission à Tanger, d'André Hunebelle
1949 : Vient de paraître, de Jacques Houssin
1949 : Au revoir monsieur Grock, de Pierre Billon
1949 : Adémaï au poteau-frontière, de Paul Colline
1949 : Mon ami Sainfoin, de Marc-Gilbert Sauvajon
1949 : Millionnaires d'un jour, d'André Hunebelle
1949 : Pas de week-end pour notre amour, de Pierre Montazel
1949 : Un certain monsieur, d'Yves Ciampi
1949 : Le Jugement de Dieu, de Raymond Bernard
1949 : Rendez-vous de Juillet, de Jacques Becker
1948 : Croisière pour l'inconnu, de Pierre Montazel
1947 : Six heures à perdre, d'Alex Joffé et Jean Lévitte
1947 : Antoine et Antoinette, de Jacques Becker
1947 : Le Château de la dernière chance, de Jean-Paul Paulin
1946 : La Tentation de Barbizon, de Jean Stelli
1946 : Dernier Refuge, de Marc Maurette
Récompense :
1980 : César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
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